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Des habitudes et traditions gastronomiques

Prise de poids :
l'influence de nos habitudes et traditions

 

 

La structure du repas français

Qui peut bien être celui (ou celle d’ailleurs) qui a décidé qu’un

repas « à la française » devait être composé comme ça ???

 

Entrée

Plat principal

Fromage / salade

Dessert

 

Sans compter le traditionnel apéro, comportant non seulement des boissons sucrées et/ou alcoolisées qui font péter la jauge à calories, mais aussi des aliments bien gras comme les chips, cacahuètes, pistaches et autres biscuits hyper salés pour nous faire bien saliver et en vouloir encore et encore…

Des habitudes et traditions gastronomiques

Sans compter non plus les vins blancs, rouges, rosés, mousseux, voire Champagnes ou bière ou cidre selon la région, qui accompagnent tout ça et qui nous font ingurgiter des calories à ne plus savoir quoi en faire.

 

Parce que oui messieurs dames : l’alcool apporte des calories !

(contrairement au Coca « zéro » qui, comme son nom l’indique n’en contient pas, mais nous habitue au goût sucré – voir l'article intitulé "De l'addiction au sucre")

 

Et comme si ça ne suffisait pas, on rajoute un petit café ou une infusion en fin de repas (et là, on nous remet une couche de sucre au cas où il n’y en aurait pas eu assez dans le dessert ! Bon vous me direz, on n’a qu’à pas mettre de sucre dans son café !), voire un traditionnel « pousse café » dans certaines familles ! 

 

 

Bon, tout ça pour dire que si nous nous goinfrons lors de ces traditionnels repas, servis aussi bien dans nos cantines, que dans nos belles-familles ou chez nos potes,

c’est que nous le voulons bien !

 

Il n’y a aucune obligation à prendre l’apéro, ni à respecter les traditionnels 3 ou 4 plats, ni à boire du blanc avec le poisson et du rouge avec la viande, ni à manger du fromage ou du pain à chaque repas (ou du pain avec le fromage d’ailleurs), ni à finir par un dessert bien sucré et bien gras…

 

Il n’y a aucune obligation non plus à finir son assiette, ni à se goinfrer jusqu’à s’en faire péter la panse quand on est invité, même si la maîtresse de maison insiste pour qu’on reprenne 3 fois de son veau Orloff.

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